maison certifiée
meilleur tarif garanti
réponse rapide et personnelle
Nous reviendrons vers vous le plus rapidement possible avec les disponibilités et le tarif associé. Et si cette maison n'est plus disponible ? Aucun problème, nous vous préparons d'autres suggestions (de choix !).
Ces maisons à l’architecture magnétique qui captent toute notre attention
Avis aux passionnés ! Avec leurs architectures qui sortent de l’ordinaire, disent quelque chose des traditions de la région où elles s’ancrent, ces maisons reflètent le sens du beau de celles et ceux qui les ont dessinées (architecte ou non). Zoom sur ces adresses fascinantes où séjourner.
Ces maisons à l’architecture magnétique qui captent toute notre attention
On dit souvent qu’il ne faut pas se fier aux apparences. Et pourtant. L’architecture d’une maison est bien souvent l’élément déclencheur d’un coup de cœur, et ce simplement en voyant une photo. Qu’elles soient traditionnelles – à l’image de la typique maison basque 2.0 des Bords du Lac –, ultra-contemporaines – à l’instar de la maison-loft West Is The Best du duo de designers Briand-Berthereau – ou encore même classées – comme l’est l’atypique château style Belle Époque de Mar Vivo. Face à la mer, cachée dans la forêt ou en plein village, toutes s’accordent dans leur singularité pour créer l’émotion chez les visiteurs qu’elles reçoivent. Éveiller les sens par leurs volumes extravagants, leurs ouvertures généreuses ou encore leurs ornementations séduisantes. Nous, on y fonce !
Au Cap Ferret,
la villa Iconic House par l’architecte Frédéric Thet
Au cœur de l’un des quartiers les plus recherchés de la région, sur la Pointe du Cap Ferret, la dernière réalisation d’Iconic House dévoile une demeure au luxe discret conçue dans l’esprit d’une cabane ferretcapienne, construite dans les règles de l’art par l’architecte local Frédéric Thet. Le Cœur du Ferret se distingue par l’utilisation de matériaux nobles, s’inspirant fortement des cabanes ostréicoles de la Presqu’île : toitures en tuiles canal de teinte claire, bardage en bois de Pin des Landes traité en noir, charpente traditionnelle…
De plus, une aile de la villa, perchée sur pilotis, fait écho aux célèbres cabanes tchanquées du bassin d’Arcachon (une cabane tchanquée est une cabane en bois perchée sur des pilotis, généralement située dans les eaux peu profondes des marais ou des estuaires, notamment dans le Bassin d’Arcachon. Le terme « tchanquée » vient du gascon « chancas », qui signifie échasses).
Le Cœur du Ferret. © David Loridan
L'une des salles de bains du Cœur du Ferret. © David Loridan
L’architecte qui a conçu cette bâtisse unique, Frédéric Thet, raconte sa création :
« Nous savions qu’elle allait être inspirée des cabanes locales en bois, d’ostréiculteurs et de pêcheurs. À partir du moment où l’on a réalisé cela, l’idée a été de réfléchir à comment se démarquer des autres pour imaginer une villa à l’apparence d’une cabane en bois, qui réponde à toutes les normes actuelles. C’est une vraie construction de performance d’un point de vue environnemental et thermique. On a cette double contrainte : l’esthétisme d’une cabane en bois, avec la technicité d’une villa très performante.
Au Cap-Ferret, la plupart des cabanes sont faites en voliges de planches de bois assez larges. Entre chaque volige, on vient recouvrir avec un tasseau de bois pour cacher le joint. J’ai essayé d’imaginer autre chose, en intervertissant une lame étroite et une large et en laissant apparent l’interstice entre deux lames, pour former un bardage ajouré avec un pare pluie noir et changer de la technique locale. »
« Quand j’ai découvert le terrain sur lequel allait être construit Le Cœur du Ferret, ce qui m’a d’abord marqué c’est le fait qu’il était très vallonné. Il y avait également beaucoup de pins et nous ne pouvions et ne voulions évidemment pas les abattre. L’idée que j’ai eue a été d’imaginer une villa en plusieurs niveaux de plain pied, en suivant les courbes du terrain naturel, en créant des plateaux qui épousent la butte moyenne, le terrain très bas enfoncé, et à nouveau la butte très haute. Cela donne l’impression que la maison est sur plusieurs étages alors qu’elle est de plain pied mais suit différents niveaux du terrain. C’est en cela qu’elle est assez originale. »
Le jardin luxuriant du Cœur du Ferret. © David Loridan
À Marseille,
un rêve d’architecture californienne par Margaux Fritz
Les têtes de lits en bois signés Margaux Fritz.
Ce qui frappe le voyageur en franchissant le seuil de la Villa Sunset ? La frontière entre l’intérieur et l’extérieur se dissout, offrant de vastes espaces où l’on peut pleinement vivre dedans-dehors. Imaginée par l’architecte et designer marseillaise Margaux Fritz, la sélection des matériaux renforce cette impression d’une continuité entre les terrasses, le jardin et les pièces de la villa.
La très belle cuisine en marbre vert de Villa Sunset.
Le marbre vert, omniprésent, fait le lien entre les différents espaces : il orne la façade – parfaitement équilibré avec le blanc de la bâtisse et le bois sombre de la porte d’entrée et des terrasses –, la cuisine, l’une des salles de bains, et même la piscine. Partout, de grandes baies vitrées et une harmonie de matériaux créent un effet visuel quasi hypnotique. La décoration intérieure, pensée par Margaux Fritz, allie pièces iconiques et influences seventies : on y découvre des chaises signées Warren Platner, une suspension Verpan évoquant une pluie de coquillages, une table Knoll, des fauteuils Le Corbusier…
L’une des salles de bains se pare de marbre vert, tandis que les autres, véritables boîtes à bijoux carrelées, arborent des teintes rouges, blanches ou bleues. Le bois, également très présent – des têtes de lits au bar de la pièce à vivre – apporte une touche rétro. L’ensemble crée une atmosphère vintage, élégante et épurée, pour un résultat remarquablement harmonieux.
À Arles,
une maison-bijou d’architecture seventies
La piscine de la Villa Benkemoun.
Pour les passionnés d’architecture et de design, la Villa Benkemoun est un passage incontournable ! Au début des années 1970, Simone et Pierre Benkemoun confient à leur ami architecte Emile Sala la création d’une maison familiale à Arles, un lieu de vie qu’ils souhaitent à la fois transparent et ouvert. L’architecte conçoit une villa de 500 m², alliant fluidité des espaces, volumes flexibles et jeux d’ombres et de lumière.
Longtemps restée une propriété privée, la Villa Benkemoun, avec son hectare de terrain et sa piscine, accueille désormais quelques vacanciers privilégiés, jusqu’à 12 personnes. Classée « Patrimoine du XXᵉ siècle » par le Ministère de la Culture, cette maison ravira les amateurs d’architecture. Vivant son rêve d’architecte, Emile Sala a travaillé avec une grande liberté sur ce projet, tout en impliquant les propriétaires dans la conception de leur futur chez-soi.
Il leur confie un « cahier de renseignement » pour qu’ils y consignent leurs habitudes quotidiennes. Inspiré par ces détails, il imagine une villa familiale, offrant à la fois confort et intimité. Cela se traduit par une séparation claire entre la chambre des parents, au rez-de-chaussée, et celles des enfants à l’étage. Les espaces communs – cuisine et salle à manger – sont pensés pour des moments conviviaux et généreux. Aujourd’hui, la maison se compose de trois suites doubles et de deux suites triples, permettant d’accueillir jusqu’à 12 invités.
Inspiré par les travaux de Le Corbusier, Emile Sala privilégie les courbes pour apporter une douceur particulière à l’espace, plutôt que les lignes droites classiques. La maison semble épouser les formes du jardin, créant une harmonie parfaite entre l’architecture et son environnement. Certaines pièces sont circulaires, d’autres elliptiques ou en Y. Pourtant, certains éléments rappellent l’ancrage provençal de la maison : des tours qui évoquent les pigeonniers, un crépis typique, et une orientation sud permettant de protéger la villa du Mistral. Le résultat ? Une maison où se dégage une douce atmosphère de liberté, idéale pour savourer le temps qui passe.
La salle à manger design de la Villa Benkemoun.
Les Maisons Imaginaires
(re)imaginer le Mas et la Bastide provençale en maisons de vacances
Si Bosc Architectes est devenu un acteur incontournable dans la région des Alpilles et, plus largement, en Provence, les deux frères à la tête du cabinet d’architecture continuent d’innover. Ils lancent un studio de design d’objets, proposent une collection de maisons à louer et développent également des activités événementielles… Petits tours de leurs deux propriétés provençales emblématiques : La Bastide des Chardons et La Maison des Remparts.
Les frères ont su percevoir en La Bastide des Chardons la maison idéale pour accueillir leur grande famille et celles des autres. Cette nouvelle adresse de la collection des Maisons Imaginaires propose une version plus intime de la Maison des Remparts, située cette fois dans le village provençal d’Eyragues. D’une superficie de 500 m², cette bastide en pierre de taille a été longtemps laissée à l’abandon avant que le duo ne se lance dans sa transformation, redonnant vie à son enchevêtrement de pièces – des combles aménagés en dortoir, deux niveaux dédiés aux chambres et aux espaces de vie, ainsi qu’une cave à vin – tout en conservant des éléments évoquant ses nombreuses vies passées.
La très belle Bastide des Chardons.
À La Maison des Remparts, on découvre une propriété historique unique à Saint-Rémy-de-Provence, autrefois habitée par des brocanteurs. Derrière son apparence usée par le temps, cette maison se révèle être un vestige des fortifications médiévales de la vieille ville. Les deux architectes ont respecté et repensé son histoire en la préservant tout en l’intégrant dans son contexte géographique.
Ce bien atypique de trois étages, au style inspirant et fonctionnel, offre une atmosphère citadine intense. En retirant le crépi, Jean et Arthur ont découvert la pierre originelle de ce rempart médiéval, un fil conducteur qu’ils ont suivi tout au long de la rénovation. À l’extérieur, des meurtrières et une niche au deuxième étage, abritant un saint éclairé la nuit, ajoutent à son caractère.
La terrasse ensoleillée de La Maison des Remparts.
L'extension en bois de La Maison des Remparts.
S’inspirant de l’architecture moyenâgeuse, les frères ont imaginé une extension en bois, semblable à une tour de garde, qui surprend par son originalité. L’intérieur, autrefois sombre et cloisonné, s’est transformé en espaces lumineux aux teintes sobres, où le béton ciré, les poutres chaulées et le beijmat marocain apportent une sensation de fraîcheur et de légèreté, idéale lors des chaudes journées d’été.
Dans le Périgord Noir
la maison de campagne signée Sapiens Architectes
Les Grands Chênes niché entre les chênes.
Après le succès de La Petite Maison Noire, un chef-d’œuvre de design niché dans la forêt, Sapiens Architectes a de nouveau frappé fort dans le Périgord ! En 2021, Baptiste Manet a conçu Les Grands Chênes, une bâtisse en pierre qui s’intègre harmonieusement dans une chênaie luxuriante, donnant l’impression qu’elle fait partie du paysage depuis toujours. Alliant modernité et respect des traditions architecturales périgourdines, cette maison séduira aussi bien les passionnés d’architecture que les citadins en quête de nature.
Avec ses quatre chambres en rez-de-jardin, offrant l’impression de vivre au cœur des grands arbres, Les Grands Chênes peut accueillir jusqu’à huit personnes. Loin du tumulte urbain, on y adopte un rythme de vie paisible : petit-déjeuner bio préparé par Nathalie, la propriétaire, promenades en forêt ou dans le village voisin, cabanes dans les arbres pour les enfants et piscine pour les adultes… Un lieu parfait pour se ressourcer et profiter de l’instant présent.
La pièce de vie des Grands Chênes.
Pour concevoir Les Grands Chênes, Baptiste Manet s’est inspiré des typologies architecturales locales. Les murs en pierre, dénichée sur Le Bon Coin, apportent un aspect ancien et rappellent les maisons traditionnelles du Périgord. La toiture en fibres minérales, quant à elle, s’inspire de celles des granges et fermes de la région, notamment de celle des grands-parents de l’architecte. Pour apporter une touche de modernité, des matériaux contemporains ont été intégrés, comme les menuiseries en acier et la tôle ondulée grise utilisée pour le toit à pignon.
Les larges baies vitrées, en revanche, marquent une rupture avec les fermes locales, souvent sombres et peu ouvertes sur l’extérieur. Baptiste les a imaginées comme « des tableaux en mouvement », permettant d’admirer la forêt, la lumière et les changements de saison. Depuis les chambres, situées en rez-de-jardin, ou depuis les espaces communs, qui rappellent un balcon perché dans les arbres, on peut apercevoir des chevreuils se promener tranquillement entre les chênes. Poésie, calme et sérénité sont au rendez-vous aux Grands Chênes.
Pour aménager les intérieurs des Grands Chênes, les propriétaires ont fait appel à Chloé, cofondatrice de l’atelier d’architecture Leymarie Gourdon. Ensemble, ils ont imaginé un savant mélange de pièces chinées, d’objets de famille, de mobilier contemporain, et même de meubles-œuvres, tels que les fauteuils et la bibliothèque créés par le sculpteur et designer abidjanais Jean Servais Somian. Le résultat ? Un intérieur minimaliste et moderne où la qualité prime sur la quantité. Les espaces, délicatement décorés sans excès, offrent aux hôtes un cadre apaisant, propice à l’admiration du paysage environnant.
Le salon des Grands Chênes avec vue sur la chênaie.
Trouver la maison de vos rêves
