Villa Trinidad

Installée sur la prestigieuse avenue de l’Impératrice, la Villa Trinidad représente le riche patrimoine culturel de la ville de Biarritz. Typique de l’époque Art Déco, elle a été conçue en 1922 par l’architecte français Charles Siclis et fût récemment restaurée par son propriétaire, Emmanuel Cazals (Les Maisons Fabel). On ne se lasse pas de son emplacement de choix, juste à côté de l’Hôtel du Palais, à trois minutes de la Grande Plage et tout proche des commerces du quartier St Charles.

La villa comprend six chambres, cinq salles de bain en toute convenance. Mais ce n’est pas tout : salle de yoga au sous-sol, bibliothèque cosy, cheminée, salon de musique et de lecture… Sans parler de la cuisine, avec son îlot esprit atelier, ouverte sur une salle à manger donnant sur la piscine. Des aménagements vraiment pensés pour la vie en vacances. Les familles y trouvent leur compte grâce à une offre complète pour les enfants, incluant jeux, livres et nécessaire pour bébés. À dispo, dans toutes Les Maisons Fabel, les produits de toilettes de la marque EQ, une entreprise crée à Biarritz qui promeut la préservation des océans, tout particulièrement.

Le nom de la villa Trinidad porte en elle une histoire singulière, teintée d’exotisme et de mystère. Le couple à l’origine de sa construction partage un lien fascinant avec les Caraïbes, un détail qui confère à la demeure un charme particulier. La femme, née à Port d’Espagne dans les îles de Trinidad et Tobago dans les années 1890, apporte avec elle un morceau d’histoire et de culture caribéennes. Ses parents, occupant probablement des fonctions importantes à Port d’Espagne, auraient influencé son parcours et, par extension, l’esprit même de la villa. Il y règne une magie particulière, une résonance avec les Caraïbes – voisines de la Guadeloupe – qui trouve un écho chez Emmanuel, actuel propriétaire de la Villa. Ce lien transatlantique, qui unit les rivages lointains des Caraïbes à la côte Atlantique française, enrichit la Villa Trinidad d’une aura à la fois internationale et intime, et souligne l’importance des racines et des histoires personnelles dans la création de lieux vraiment uniques.

La récente rénovation de la maison a mis en lumière des fresques originales de 1922, notamment celle de baigneuses, et a permis un magnifique travail de restauration d’un vitrail original de Jean Lesquibe. Un dévouement minutieux qui redonne fière allure à cette œuvre qui dévoile plusieurs joueurs de pelotes basques, en circonstance.